Alexandre Beridze est un artiste franco-géorgien, fondateur d'un mouvement artistique « Figuratif Mental ».

Alexandre Beridze est né à Saint-Pétersbourg en 1975. Petit-fils du peintre russe Fedor Kholenkov, et quand Alexandre avait quatre ans, il a demandé à son grand-père de lui dessiner des avions et des chars mais son grand-père ne voulait pas revenir à ses souvenirs de soldat pendant la Seconde Guerre mondiale et a plutôt enseigné à son petit-fils les bases du dessin pour qu'il puisse dessiner lui-même. Depuis, il se passionne pour le dessin et la peinture. En 2000, Alexandre s'installe en France.

Depuis 2005, Alexandre Beridze réalise régulièrement des expositions. La plus marquante fut l'exposition personnelle à la Galerie Adler à Paris en 2011, à la suite de laquelle Bertrand Saint Vincent, rédacteur en chef du célèbre journal français « Le Figaro », a écrit un article en première page le 8 mars 2011.
La même année, Beridze participe avec la galerie Adler à la foire Art Paris et est cité par le Journal du Net parmi les 10 artistes les plus prometteurs de France.
En 2014, Beridze a participé à la Biennale de Florence, où il a reçu le prix Sandro Botticelli récompensant les artistes contemporains distingués. Plusieurs expositions personnelles s'ensuivent à Paris, Monaco, Nice et Bruxelles.

Alexandre Beridze travaille dans le style de l'abstraction expressive. C'est pourquoi, en 2014, Alexandre Beridze a commencé à incorporer des figures géométriques dans son travail pour exprimer sa visualisation du monde par des fragments et des lignes de couleur, des segments d'images et la géométrie. Les scientifiques relient cette série d’œuvres à notre mémoire.

En 2016, Beridze a commencé la série de travaux intitulée « Réflexion » et a été remarqué par un groupe de scientifiques, mentalistes, neuroscientifiques et philosophes français et russes selon lesquels Alexandre est le premier artiste à visualiser et dessiner le processus de pensée.
« Ce qui a toujours semblé être la propriété exclusive de la philosophie – la réflexion, l’attention, le subconscient, l’impulsion de la vie – est devenu accessible à la vision grâce à l’art de Beridze » – disent les scientifiques. Alexander Beridze fait partie de sa dernière série, « Reflection ». La réflexion se produit de manière non verbale dans notre conscience et l'art abstrait est une manière extraordinaire de représenter ce processus complexe sur toile. Le peintre visualise le mouvement de chaque pensée qui, selon les scientifiques, ne se déplace jamais en ligne droite mais par le flux chaotique spontané. L'artiste fait une analogie entre le système complexe de structuration de l'information en blocs formant la chaîne de données-blockchain et le flux de pensées, d'images et de perceptions qui surgissent dans notre esprit, créant la blockchain de notre mémoire.

Alexandre Beridze exprime ses sentiments par la peinture, ce que d'autres expriment par l'écriture ; c'est une impression immédiate, plutôt que des concepts et des théories. C'est pourquoi on peut le qualifier de peintre figuratif impressionniste, voire de cartographe, de notre esprit. L’art de Beridze a inspiré les scientifiques à de nombreux essais et études sur son œuvre, tels que « Mental figuratif – l’art d’Alexandre Beridze », du mentaliste français Jean-Louis Tripon. Alexandre Poustovit, docteur en philosophie de Kiev, a décrit l'art de Beridze dans son étude « Alexandre Beridze – Portrait d'une pensée ». Jean-Louis Tripon et Beridze ont publié un livre « À la découverte de notre vie mentale », présenté au salon du livre de Paris en 2018.

En 2021, Alexander a reçu le titre d'Artiste émérite d'Europe de l'Académie d'histoire naturelle de Hanovre pour ses services dans le domaine du lien entre la science et l'art.
Alexandre est membre du Comité National Monégasque de l'Association Internationale des Arts Plastiques avec l'U.N.E.S.C.O. Et il est disponible aujourd’hui à Cannes et à Paris dans l’une des galeries d’art les plus célèbres de France – Galerie Vieceli.

Les critiques d’art ont souligné la riche palette de couleurs de l’œuvre d’Alexandre, sa capacité à expérimenter les couleurs, les différentes techniques et les images graphiques. En 2010, l'artiste a formulé sa propre théorie de l'art – « Lignes de couleur », affirmant que tout ce qui nous entoure est constitué de fragments et de lignes de couleur qui, ensemble, forment une seule image. En 2012, Alexandre Beridze a commencé à enrichir la série Color Lines en ajoutant un contenu sous forme de segments entre les lignes ce qu'il a appelé Intersections. Alexandre se souvient de son enfance, lorsqu'il aimait regarder la vue changeante à travers une fenêtre d'un train en marche. « Nous sommes entourés de segments d'images, d'une succession de plans formant un tout », explique Beridze.

Depuis 2013, les œuvres d’Alexandre sont vendues aux enchères Philipps à Londres et à New York, la principale maison de ventes aux enchères d’art contemporain.

La géométrie sacrée, souvent décrite comme l’origine de toutes les formes, est l’importante source d’inspiration de Beridze. On dit que tout schéma naturel de croissance ou de mouvement renvoie à une ou plusieurs formes géométriques. Les molécules de notre ADN, la cornée de notre œil, les flocons de neige, les pétales de fleurs, les cristaux, une coquille, les étoiles, la galaxie dans laquelle nous tourbillonnons, l'air que nous respirons et toutes les formes de vie sont créés à partir de codes géométriques.
 

              « Il y a un kaléidoscope permanent devant nos yeux,
et la beauté n’existe que dans l’âme de celui qui regarde. »

                                                                           

Alexandre Beridzé

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